« [...] L'augmentation des ventes d'armes, des paroles éclairantes, des obscurantismes, des manoeuvres. L'utilisation d'un bien par une représentante de la nation. Le bout d'un effet domino. La disparition de jumelles. Le sol national. Un père. Une séparation. Une mort avérée. Un objet mis en lumière - l'autre côté informe. Une couleur - une indication probable sur le sexe. [...] » Nicolas Tardy
Soit un couple franco-américain ; de quelle communauté sont-ils, peuvent-ils, doivent-ils, être les plus proches ?
Voici une nouvelle forme de livre d'artiste relatant la rencontre et le fruit des échanges entre les deux protagonistes autour des notions de paysage et d'exposition.
« Non, le monde n'est pas résumable en une phrase. » Nicolas Tardy
Burma le savait, il n'aurait jamais dû accepter cette enquête. Même si sa cliente est charmante, il ne pourra rien faire pour l'aider. Une fois n'est pas coutume, Nestor est même d'accord avec la police : le fiancé de la belle, jeune étudiant en médecine apparemment sans histoire,s'est bel et bien suicidé!
Mais l'instinct infaillible de notre détective de choc ne le trompe jamais, il y a forcément quelque chose de louche dans ce drame. Et ce n'est pas la faune du quartier latin, entre bar à strip, fumerie d'opium et maître chanteur, qui le feront changer d'avis.
En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d'un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d'un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l'énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s'épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d'un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d'une femme blonde et nue. Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes.
Le roman de Léo Malet Boulevard. ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l'esprit de la série et du personnage. sans s'interdire un zeste d'humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. »
C'est une bien déplaisante affaire que Nestor Burma doit débrouiller : un brillant étudiant en médecine s'est suicidé d'un coup de revolver en plein quartier latin. Sa fiancée, une jolie comédienne, affirme qu'il n'avait pourtant aucune raison de se tuer et soupçonne un meurtre. Même si la thèse du suicide lui semble plus plausible, Burma plonge à la rencontre de la faune peu reluisante qui gravitait autour du jeune mort sur le Boul'Mich...
En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d'un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d'un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l'énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s'épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d'un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d'une femme blonde et nue. Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes.
Le roman de Léo Malet Boulevard. ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l'esprit de la série et du personnage. sans s'interdire un zeste d'humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. ».
En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d'un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d'un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l'énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s'épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d'un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d'une femme blonde et nue. Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes.
Le roman de Léo Malet Boulevard. ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l'esprit de la série et du personnage. sans s'interdire un zeste d'humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. ».
Proposé en librairie avant même l'exploitation de la version cinéma des Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec, adaptée de la bande dessinée de Tardi par Luc Besson, Le Livre d'Adèle est centré sur le personnage d'Adèle Blanc-Sec. Il propose à la fois une découverte approfondie du film de Luc Besson et une exploration de l'univers d'auteur développé par Tardi autour de son héroïne.
Catalogue de l'exposition Who's afraid of design ?, exposition présentée du 1er octobre 2009 au 3 janvier 2010 à Saint-Étienne à l'occasion de l'inauguration de la Cité du design. Contient un texte de présentation générale de l'exposition par son commissaire + des reproductions des oeuvres des 31 artistes et designers (22 artistes et 9 designers) exposés + un texte inédit de l'écrivain Nicolas Tardy. Le propos de l'exposition est le suivant : « que art est le nom d'une certaine position, ou posture, à partir de laquelle le design peut, en son sein ou depuis le champ artistique, être questionné, démonté ou rejoué : non pas une explication du design donc, mais une explication avec le design. » Artistes et designers exposés sont de notoriété et d'âge différents mais sont tous issus de l'École Supérieure d'art et design de Saint-Étienne. Plusieurs artistes reconnus dans le champ de l'art contemporain : Damien Deroubaix, François Curlet, Franck Scurti...
Nestor Burma s'intéresse à Natacha et Sonia, deux Russes blanches au passé trouble qui tiennent un magasin de luxueuses frivolités.
C'est une bien déplaisante affaire que Nestor Burma doit débrouiller : un brillant étudiant en médecine s'est suicidé d'un coup de revolver en plein quartier latin. Sa fiancée, une jolie comédienne, affirme qu'il n'avait pourtant aucune raison de se tuer et soupçonne un meurtre. Même si la thèse du suicide lui semble plus plausible, Burma plonge à la rencontre de la faune peu reluisante qui gravitait autour du jeune mort sur le Boul'Mich...
Micmac moche au Boul'Mich, le journal est le journal de publication en trois numéros de l'album éponyme à paraître le 28 octobre 2015.
Aux côtés des planches du nouvel album dessiné par Nicolas Barral, le sommaire de ce journal propose :
- Un reportage sociologique sur les comportements de l'époque de Nestor Burma.
- Un article sur l'actualité culturelle cinématographique de l'époque de Nestor Burma.
- Des réclames.
- Des petites annonces décalées et très drôles.